27 ans en 1789
Avocat à Metz, élut à député de la Moselle à la législative. Membre des Jacobins il siège à l'extrême gauche de l'assemblée avec Basire et Chabot partisan des mesures extrêmes (déportation des prêtres insermentés, séquestre des biens des émigrés). Lors du 9 thermidor il se retrouve parmi les adversaires de Robespierre puis avec les réactionnaires de la jeunesse dorée.
Avocat à Metz, élut à député de la Moselle à la législative. Membre des Jacobins il siège à l'extrême gauche de l'assemblée avec Basire et Chabot partisan des mesures extrême (déportation des prêtres insermentés, séquestre des biens des émigrés). A la tête des émeutiers du 10 août il soutient les propositions visant à prendre en otage les femmes et les enfants des émigrés. Merlin était partisan de l'exécution du roi dés octobre 1792. Il participe, comme représentant de la Convention, aux guerres de Vendée où il s'enrichit sur le dos des victimes. Lors du 9 thermidor il se retrouve parmi les adversaires de Robespierre puis avec les réactionnaires de la jeunesse dorée. Député du conseil des Cinq-Cent il réintègre la vie privée en 1798 et vit des revenus de ses propriétés. Sans scrupule il demandera pardon à Louis XVIII pour ses erreurs de jeunesse.