En
cours de ressaisie
37 ans en 1789
Officier de cavalerie en retraite, sa noblesse sera contesté en 1789 lors de la convocation aux assemblées d'électeurs et c'est donc avec le tiers-état qu'il siègera. D'abord favorable aux idées révolutionnaires, la constitution civile du clergé le choquera et l'entrainera dans l'insurrection vendéenne. C'est lui qui dirige les opérations militaires derrière Cathelineau auquel il succède à la mort de ce dernier en juillet 1793. Frappé de quatorze blessures à la bataille de Cholet il sera pris par les républicains puis fusillé dans son fauteuil le 3 janvier 1794 à Noirmoutiers.
Officier de cavalerie en retraite, sa noblesse sera contesté en 1789 lors de la convocation aux assemblées d'électeurs et c'est donc avec le tiers-état qu'il siègera. D'abord favorable aux idées révolutionnaires, la constitution civile du clergé le choquera et l'entrainera dans l'insurrection vendéenne. C'est lui qui dirige les opérations militaires derrière Cathelineau auquel il succède à la mort de ce dernier en juillet 1793. Malgré sa bravoure il n'arrive pas à obtenir une obéissance complète des autres chefs vendéens à cause d'un caractère difficile. Il remportera avec Bonchamp, Charette et Lescure la victoire de Torfou contre les Mayençais de Kléber. Frappé de quatorze blessures à la bataille de Cholet il sera pris par les républicains puis fusillé dans son fauteuil le 3 janvier 1794 à Noirmoutiers.
